Orchestre de papier : séance 8 du 21-01-19

Aujourd’hui, nous avons retrouvé Camille et Benjamin. Nous étions ravis de les accueillir et nous étions plus calmes que vendredi et prêt à les écouter.

Nous avons commencé à nouveau par notre échauffement quotidien : nous avons senti des petits chatouillements dans nos mains. Nous avons bien échauffé nos voix en faisant la sirène et en répétant les sons faits par Camille.

Avec notre archet, nous avons fait le mouvement de l’essuie-glace en bougeant simplement notre poignet. Ensuite, nous avons fait l’exercice de l’araignée pour monter et descendre nos doigts le long de l’archet. Puis, nous avons relâché notre poignet.

Ensuite, nous avons fait l’exercice de la fusée : monter l’archet vers le ciel et le redescendre sur un bruit de la bouche “zzzz” (déplacement vertical). Après, nous avons fait l’exercice du “tir à l’arc” : plier son coude droit et viser vers la gauche en déplaçant l’archet horizontalement. Nous devons toujours viser la même cible.

Puis, nous avons pris notre violon et notre archet et mis en position pour jouer pour refaire l’exercice du “tir à l’arc”. Ensuite, nous avons appris à poser nos violons très doucement, sans faire de bruit et très délicatement de façon à ne pas casser notre violon.

Nous avons reparlé des paroles de notre chanson “Quand on vient pour le violon”; Camille et Benjamin nous ont expliqué que cette chanson était notre règlement à respecter lors des séances de violon.

On a repris nos violons et nos archets, mis en position pour jouer et chanter en jouant la chanson, sans oublier de viser la cible. Puis, on a de nouveau poser nos violons et chantonné la chanson en faisant “mmm” au lieu de dire les paroles, nous pouvions même nous balancer sur nos chaises en essayant de tous aller dans le même sens. On s’est entraîné à montrer qu’on était joyeux en cachant notre bouche avec notre main. Nos copains devaient pouvoir voir notre joie juste en regardant nos yeux.

Nous avons de nouveau pris nos violons et archets et joué en montrant que l’on était heureux de jouer. Nous avons joué en souriant.

Enfin, nous avons posé nos violons, très délicatement, fermé nos yeux pour écouter Benjamin jouer du violon.

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